Les désordres émotionnels
Comme l’ont montré les cas pratiques, l’HG agit avec une grande efficacité dans les troubles du comportement : la personne se rend compte de son attitude, souhaite en changer
mais n’y arrive pas. L’HG va pouvoir l’aider.
Le TRM met d’abord en évidence l’émotion perturbatrice. Dans cette première phase, patient et thérapeute cherchent ensemble ce qui fait
chuter le bras, ce qui perturbe l’énergie, puis le traitement intervient ensuite pour faire disparaître l’élément perturbateur.
Dans certains cas cependant, le thérapeute ne doit pas intervenir. Prenons un exemple :
Si une personne éprouve de la jalousie, mais estime que ce sentiment est justifié. Si elle ne souhaite
pas qu’on intervienne pour l’en débarrasser, il ne faut pas traiter, même si, à l’évidence, la jalousie la rend malade : c’est à elle de faire ses choix de vie,
pas au thérapeute. Il n’a pas à discuter ! Le praticien doit rester au service du patient.
En traitant les désordres émotionnels, l’HG agit sur certaines fatigues, sur les troubles du sommeil, comme nous l’avons vu précédemment, sur les états dépressifs, les troubles
du comportement, les états anxieux, les phobies…etc.