Je vous propose dans un premier temps de laisser votre consultant vous énoncer le motif de sa visite, la description de ses troubles, depuis quand, comment, et à quoi il pense que cela est lié…

     Pendant que le consultant parle, le praticien se met à l’écoute de son propre ressenti quand sont abordés les différents éléments de l’exposé du consultant.

     Puis à l’aide du TRM, vous étudiez le symptôme, vous testez ce que le consultant vous a dit. Il vous a par exemple parlé d’une douleur à la fesse. Vous pouvez tester : « douleur à la fesse » : ↓ (le bras chute, il y a effectivement une douleur à la fesse).

N.B. : Si la réponse avait été → c’est que peut-être la douleur n’est pas au niveau de la fesse, mais au niveau de la cuisse, du sacrum... Vous pouvez alors interroger dans ce sens. Ou peut-être aussi que la douleur n'était pas présente au moment du TRM. 

   L'important est de trouver la phrase qui correspond aux troubles allégués par le consultant. 

    Puis vous effectuerez les recherches des origines à partir de cette phrase.

     Quand je rencontre les praticiens en Harmonisation Globale, la difficulté le plus souvent rencontrée n’est pas l'harmonisation elle-même.

     Avec un peu d’entraînement, chacun arrive facilement à effectuer le TRM, à distinguer quand le consultant ne « joue pas le jeu » et n’essaie pas de résister à chaque pression sur le bras avec la même force (parfois pour aider le praticien parce qu’il pense connaître la réponse !)

     Chacun arrive à se mettre en « état de présence » (centré, ancré, dans l’ici et maintenant, sans vouloir, sans intention, mais simplement attentif à ce qui se passe).

     Et chacun arrive à libérer le consultant de ce qui a été choisi de traiter.

     La difficulté vient de trouver quelles sont les questions à poser pour arriver à retrouver les origines des troubles pour pouvoir les harmoniser.