Traitement par Harmonisation Globale
Pour les allergies et les intolérances quand l’allergène peut être utilisé:
Le praticien se tient, en état de « présence » (neutre, ancré comme avec des racines, relié à l’énergie universelle, centré au niveau du hara, dans l’ici et maintenant), relié énergétiquement au consultant et se tenant près de lui.
Puis le patient prend l’allergène sur lui pour créer un contact vibratoire, en restant attentif à ce qu’il ressent : des picotements, de la chaleur, du
froid,… parfois des images du passé surgissent, indiquant l’origine de l’allergie (dans ce cas, le patient doit simplement accepter l’événement en cause, sans s’y attacher et le laisser partir,
c’est du passé). S’il ne ressent rien, ce n’est pas pour autant que le travail ne se fait pas…
Le praticien se met aussi à l’écoute des ressentis du patient. Il peut avoir les mêmes symptômes que le patient ou d’autres perceptions,… ou ne rien
ressentir. Mais dans tous les cas la désensibilisation a lieu quand même.
Quand les sensations anormales ont disparu, quand patient et/ou praticien soupirent… le travail est généralement terminé.
On refait alors le TRM : si l’allergène n’entraîne plus la chute du bras, la ré-harmonisation énergétique est terminée.
Si le bras n’est pas encore tout à fait solide, reprendre la ré-harmonisation jusqu’à ce que le bras soit solide au TRM.
Le consultant pourra alors être en contact avec le produit traité sans manifester de signe d’intolérance.
NB : il existe des patients intolérants à certains médicaments. Ce sont généralement des personnes qui ressentent de la fatigue sans raison, des
ballonnements… Pour rechercher cette intolérance, on teste les différents médicaments qu’ils prennent, y compris les vitamines, les produits de phytothérapie, les fortifiants. Si un produit (ou
plusieurs) fait diminuer la force musculaire au TRM, il faut le (ou les) traiter par l’HG. Le patient peut ensuite continuer à le (ou les) prendre, sans ressentir de troubles.
On peut refaire régulièrement un TRM pour vérifier que le produit continue à être bien toléré, surtout quand les symptômes n’ont pas disparu. La fatigue, par exemple,
peut avoir plusieurs causes et c’est seulement quand l’ensemble des causes sera traité que la fatigue va disparaître. Cela permet de ne pas passer à côté d’une récidive de l’intolérance au
produit parce que la cause psychique, par exemple, n’a pas été traitée : en effet, si l’intolérance a une cause psychique par exemple, une nouvelle confrontation à l’émotion perturbatrice peut
recréer l’intolérance ou l’allergie.
Il est bien certain que si vous désensibilisez à un produit toxique, le mercure par exemple, vous n’aurez plus de manifestation allergique avec ce produit, mais la
toxicité persistera !
Pour les allergies et les intolérances sans la présence du produit :
Parfois l’allergène n’est pas disponible.
J’ai déjà fait des essais en cas d’allergie à la poussière : je vérifie que le patient est allergique à la poussière par le TRM en lui faisant tenir un
flacon en contenant. J’ai testé aussi la
force musculaire pendant que le patient répétait « poussière », le bras chutait. Alors, au lieu de le désensibiliser pendant qu’il tient un flacon contenant de la poussière, je lui demande de
répéter le mot « poussière » pendant environ 5 minutes alors que je suis en état de «présence». Le plus souvent, en répétant le mot « poussière », le patient ressent les
symptômes de son allergie ! Je pratique ensuite le TRM avec le terme « poussière » puis avec de la véritable poussière et le bras ne baisse plus ni dans un cas ni dans un autre. Une fois rentré
chez lui, le sujet n’éternue plus au contact de la poussière.
On peut donc remplacer l’allergène par son nom pour tester et pour désensibiliser !
Pour les pollens par exemple, ce n’est pas facile de connaître celui ou ceux qui ne sont pas tolérés, alors je demande de répéter aux consultants qui
souhaitent se désensibiliser aux pollens de répéter : « tous les pollens ». Et quand ils sont à nouveau en contact avec les pollens, ils n’ont plus d’éternuements ni d’autres symptômes !
Il existe des personnes intolérantes aux rayonnements électromagnétiques, elles sont dites électro sensibles. Comment mettre la personne en contact avec
eux? J’ai commencé en leur faisant tenir leur téléphone portable, elles pouvaient alors utiliser leur propre portable sans être perturbées. Mais si elles prenaient un autre téléphone portable, ça
ne marchait plus. D’autre part, ce sont aussi des personnes très perturbées par le wi-fi, les antennes... Alors je leur ai fait dire : « ondes électromagnétiques » : cela faisait baisser leur
bras au TRM, elles ont répété ondes électromagnétiques pendant que je les désensibilisais et cela les a protégées pour les portables, le wi-fi, les antennes…
Pour les pensées toxiques :
Le praticien se met en état de « présence » près du patient.
Le patient évoque sa pensée toxique en quelques mots. Il peut aussi l’avoir couchée sur un papier. Dans ce cas, il tiendra ce dernier entre ses mains
pour renforcer les vibrations. Puis il répète sa phrase pendant 5 minutes environ.
C’est durant cette phase du traitement que des symptômes d’angoisses, des pleurs, peuvent se manifester. Il est alors essentiel que le praticien rassure
le patient et l’encourage à continuer de prononcer sa phrase jusqu’à disparition complète des symptômes. Le praticien demande à son patient de se concentrer sur ses ressentis
physiques dans son corps, à ne pas penser à ce qu’il dit, à le dire machinalement, cela aide à moins ressentir les angoisses, à ne pas se mettre dans l’émotionnel. Le travail se fait
plus facilement. En répétant la phrase, l’élément perturbateur revient à la surface et peut être géré par l’organisme beaucoup plus aisément qu’au moment où cela s’est produit car la personne est
accompagnée, dans un lieu protégé.
Le praticien doit évidemment toujours rester témoin de ce qui se passe et ne pas vouloir que son patient aille mieux.
Chez certains patients, des images de scènes en rapport avec la pensée traitée peuvent se manifester. Ils doivent alors se contenter de les regarder défiler sans vouloir
les suivre. Chez d’autres au contraire, aucun symptôme ne se manifestera. Ce qui n’empêchera pas le travail de se faire.
La séance se termine quand le patient ne présente plus de troubles, de picotements, d’angoisses… Souvent mais pas obligatoirement, patient et thérapeute soupirent.
À la fin le thérapeute effectue le TRM pour vérifier que la phrase (ou le mot) n’entraîne plus la chute du bras (si cela était, il faudrait reprendre le travail pendant
une minute ou deux).
La plupart du temps, au terme de la consultation, le patient se sent beaucoup plus calme, serein. Il peut évoquer l’élément qui le perturbait, s’en souvenir
intellectuellement, mais ne ressent plus le trouble émotionnel qui l’accompagnait.
Que s’est-il passé ? Le patient en prononçant le mot ou la phrase-clé est entré en résonance avec une blessure ancienne, et s’est comporté comme s’il ouvrait le tiroir où
la pensée toxique était enfermée. En agissant de cette manière, il a permis à celle-ci de s’évacuer pour rejoindre l’énergie universelle à travers le thérapeute. C’est d’ailleurs pourquoi il est
si important que celui-ci reste en état de « présence », ancré, bien centré, pour ne pas être perturbé par ce que le patient élimine, et que cette élimination rejoigne l’énergie universelle.
N.B. Le patient peut préférer garder pour lui sa pensée toxique. Il doit alors rester focalisé sur elle pendant l’HG. Dans ce cas, le praticien ne sait pas ce que le
consultant a choisi de traiter, mais le traitement reste efficace. Le seul point important reste que le patient ne doit pas se laisser emporter par les émotions qui peuvent se manifester en lui.
Il ne doit être que le témoin de ce qui se passe et laisser les pensées venir et repartir, sans les retenir, tout en restant fixé sur l’émotion perturbatrice.
Évidemment, il est plus facile que le praticien soit témoin de ce qui se passe pour pouvoir rassurer le patient et l’aider à ne pas partir dans ses souvenirs, à ne pas arrêter avant la fin du
travail…
Pour les troubles concernant le corps physique, les troubles physiques divers:
De nombreuses pathologies peuvent avoir une origine psychique susceptible de générer des troubles ou d’entraîner leur aggravation. En cas de récidive, je propose donc toujours au patient de rechercher une origine émotionnelle par le TRM et de la traiter par HG.
Parfois, il est même possible d’effectuer un traitement agissant sur les circonstances d’apparition des troubles en question, sur les facteurs climatiques notamment… et
avec des résultats très probants pour les patients ! C’est pourquoi j’ai également recours à cette méthode sans vraiment comprendre le comment de cette action…
L’HG permet aussi d’agir sur les suites d’une infection virale, même très longtemps après. Par exemple, la mononucléose infectieuse peut entraîner des perturbations
durables du système immunitaire, de même que certains vaccins (hépatite B en particulier, ROR), et tous les autres virus à tropisme neurologique (MRV, VRS, rubéole, rougeole, varicelle,
herpès-zona, oreillons…), le streptocoque, la maladie de Lyme, la syphilis,…
Ces infections peuvent entraîner, même des années plus tard, de la fatigue chronique, des maladies auto-immunes (SEP, rhumatisme inflammatoire, lupus, thyroïdite…). Car,
pour lutter contre ces agents, l’organisme a créé des anticorps qui se retournent ensuite contre lui-même.
Le TRM permet de retrouver l’agent en cause et l’HG permet de le traiter.
On peut appliquer la même méthode pour traiter les troubles du corps physique.
Le patient doit alors se focaliser sur la zone de son corps concernée : il peut répéter « douleur à l’épaule », il peut toucher une zone douloureuse... Cela lui permet de
rester focalisé sur ce qu’il souhaite traiter, mais son conscient doit rester observateur de ce qui se passe, ne pas intervenir, ne pas vouloir, laisser son subconscient, sa
partie guérisseuse, faire le travail.
Le praticien effectue alors le TRM et vérifie que le bras baisse à l’évocation de cette zone. Puis il pratique l’HG et termine en contrôlant le résultat énergétique au
TRM. Dans la majorité des cas, les résultats sont surprenants, mais généralement, il faut accompagner le travail énergétique d’un travail physique et matérialiser la guérison énergétique dans le
corps physique, avec l’Ortho-Bionomy par exemple.
Ne pas oublier que dans de nombreux cas, une pathologie lourde est une réponse à une situation inacceptable vécue par le patient. Les effets des différents
traitements ne seront pas durables tant que l’origine ne sera pas traitée.
De nombreuses études montrent des liens entre chocs psychiques, cancer et autres maladies graves.
Si, dans certains cas, un individu ayant des capacités réactives suffisantes, réagit à un choc psychique en rejetant symboliquement l’agression sous la
forme d’une allergie, que se passe-t-il en revanche dans le cas où il n’est plus capable de rejeter ces agressions vers l’extérieur ? On peut penser alors qu’il intériorise tout, ce qui peut
favoriser une pathologie grave, par exemple une maladie auto-immune, un cancer, etc.
Pour apporter un soulagement à des patients souffrant de sclérose en plaques (SEP), je leur ai proposé de recourir à l’HG en traitant la « gaine de myéline ».
Leur bras chutait avant l’exercice mais restait ferme ensuite en évoquant la SEP. Je leur ai aussi proposé le TRM pour rechercher l’atteinte virale qui avait favorisé la
pathologie et le choc psychique qui a pu être en cause, puis nous avons traité ces origines en utilisant l’HG. Ces patients sont maintenant stabilisés et ont bon moral. Mais, évidemment, ils
n’ont pas arrêté leur traitement classique.
Bien entendu, il est très difficile d’évaluer la part que chaque traitement a apporté dans la stabilisation obtenue.
L’HG est un complément extraordinaire qui n’interfère pas avec les soins classiques quand ceux-ci sont nécessaires. Elle permet même
souvent une meilleure réaction du corps face à ces traitements, pour qu’ils soient plus efficaces et mieux tolérés.
Harmonisation Globale à travers un tiers:
Parfois, la personne que l’on veut aider, un jeune enfant par exemple, ou un adulte handicapé ou dans le coma, n’est pas capable de pratiquer le TRM, de répéter une phrase… Dans ce cas, on peut demander à un proche, la maman le plus souvent, d’imaginer qu’elle « est » son enfant. L’utilisation du TRM indique ensuite si elle y a réussi :
1- Au TRM, il faut vérifier que la maman a plus de force en disant son prénom qu’en disant un autre prénom.
2- Puis quand elle pense être dans l’énergie de son enfant, le praticien vérifie qu’elle a plus de force en évoquant le prénom de son enfant que le sien propre.
3- Ensuite, le traitement s’applique sur la maman comme si elle était son enfant.
Comme toujours, la condition essentielle, reste la demande du patient (ou de ses parents s’il s’agit d’un enfant).
On peut pratiquer de la même manière pour un animal avec le propriétaire qui se met alors «dans» les vibrations de ce dernier.
À la fin, il faut toujours demander à l’intermédiaire de se remettre sous sa propre identité et vérifier par le TRM qu’il y a réussi.