Test du prénom
1 - Demander au patient de résister et d’exercer une pression sur son bras. Ajuster votre pression à la force dégagée.
2 - Demander au patient de résister après lui avoir fait dire : « je m’appelle … (énoncé de son prénom) » et exercer une pression.
3 – Demander au patient de résister après lui avoir fait dire : « je m’appelle … (énoncé d’un autre prénom que le sien) » et exercer une pression.
Comparer les résultats. Normalement, le bras doit avoir la même force dans le premier et le deuxième cas, et être plus faible dans le troisième.
Si ce n’est pas le cas, demander si le prénom utilisé la deuxième fois n’est pas le deuxième prénom du sujet testé (ou d’un proche). Si oui recommencer le test avec un
autre prénom.
Si le patient résiste davantage avec un autre prénom que le sien, généralement, il s’agit d’une « indisponibilité » de la partie guérisseuse de la personne, de la partie
de nous-mêmes qui est à même de répondre au TRM.
Pour que la partie guérisseuse soit disponible, il faudra stimuler les points dits « karaté », au milieu du bord externe de chaque main en exerçant de petites frappes à
ce niveau. Il sera ensuite possible de refaire le test avec les prénoms. Si les résultats montrent alors un bras plus faible avec un autre prénom que celui du patient, le TRM est utilisable et on
peut poursuivre les investigations.
Si le patient continue à résister fort pour un autre prénom que le sien, il faut lui demander de dire : « je tiens à être heureux dans la vie » et tester la force
musculaire de son bras. Puis lui demander de dire : « je tiens à être malheureux dans cette vie ». Si la force musculaire du bras est plus importante quand le patient dit qu’il tient à être
malheureux dans cette vie, il s’agit
d’une inversion psychologique.