Le Test de Réponse Musculaire (TRM)
Le test de réponse musculaire (TRM) peut se pratiquer sur tous les muscles du patient et dans toutes les positions. Pour plus de facilité, nous choisissons l’exemple d’un
patient assis dont nous utiliserons le deltoïde, un muscle de l’épaule. (N.B. :
le TRM peut aussi se faire sur un patient couché, en exerçant une pression sur les jambes, les mains…)
Le patient est donc assis, le bras (droit ou le gauche, celui qui n’est pas douloureux) tendu à l’horizontale, et dirigé sur l’extérieur.
Le praticien se place debout, face à lui. Il met une main sur l’avant-bras levé et l’autre sur l’épaule opposée. Puis il demande au patient de bien maintenir son bras et
presse sur ce bras. Le patient doit pouvoir résister à la force exercée par le praticien. Celui-ci ajuste donc sa force à celle du patient. Il faut que le praticien appuie toujours avec la même
force pour un patient donné.
Appuyer pendant une seconde, sans saccades.
Toujours prévenir la personne testée que l’on va appuyer sur son bras et lui demander de résister immédiatement, de toutes ses forces.
Il est important que le patient repose son bras sur ses genoux entre chaque test pour éviter la fatigue qui perturberait la poursuite des tests.
La convention mentale à mettre en place une fois pour toute, pour ce test est :
Bras fort : pas de perturbation énergétique, pas de toxicité.
Bras faible : présence de perturbations, toxicité à traiter.
N.B. : il ne s’agit pas de savoir si quelque chose est vrai ou non, mais de savoir s’il y a une perturbation du patient à l’évocation du problème, ou au contact de
l’allergène.
Une personne peut ainsi voir son énergie baisser en évoquant un viol. Mais cela ne veut pas dire que cette personne a été violée. Peut-être a-t-elle simplement eu peur ou
peut-être même a-t-elle simplement imaginé qu’elle avait été violée. Que le viol soit réel ou non, le traitement par HG fera beaucoup de bien s’il y a perturbation au TRM.
De même, si vous demandez à un patient de dire « cancer » et que le bras baisse, cela ne veut pas dire que le patient a un cancer, cela signifie que le patient a une
baisse d’énergie quand il évoque le cancer, cela peut être la peur d’avoir un cancer ou le rappel du cancer d’un proche par exemple.