L'attitude du praticien
Quand le patient se « synchronise » avec l’allergène ou avec la pensée perturbatrice, il leur permet de revenir à la surface, ce qui entraîne souvent une sensation de
fatigue, des palpitations, et d’autres troubles neurovégétatifs qui peuvent durer quelques minutes, mais ce n’est pas toujours le cas ; certains patients ne ressentent rien et
pourtant on peut observer une amélioration des troubles après la séance.
Il est donc nécessaire que le praticien permette l’évacuation des émanations ainsi produites… sans en être lui-même troublé.
Il est important que le praticien soit en état de « présence », c’est-à-dire ancré, centré, présent ici et maintenant tout en restant relié énergétiquement au
patient.
Nous allons développer ces différents points dans les pages suivantes.