Newsletter février 2024,
Bonjour à toutes et à tous,
Je reprends donc les rênes de l’Harmonisation Globale (HG) et j’espère qu’elle continuera longtemps à servir de guide, de méthode pour aller vers un mieux être, une meilleure connaissance de soi-même, pour nous libérer de nos mémoires perturbantes, que celles-ci soient à la racine d’allergies, de phobies, mais aussi de toute sorte de maladies, d’infections, de mal-être…
Que de chemin parcouru depuis sa découverte ! L’HG s’est structurée, elle s’est donné des règles pour une utilisation facile et sans danger. Elle commence à être connue et reconnue. Il y a près de 300 personnes qui ont été certifiées en Harmonisation Globale, plus de 10 enseignantes qui forment les personnes désireuses de la connaître.
Nous avons institué une certification en HG, cela nous permet de pouvoir recommander des personnes qui connaissent et qui pratiquent bien l’HG même si nous ne les connaissons pas toutes personnellement. Nous leur avons demandé de participer à une formation continue pour rester sur le site. Bien entendu, les praticiens en HG qui ne sont plus sur la liste du site peuvent continuer à pratiquer l’HG. Les personnes non certifiées qui ont suivi la formation en HG peuvent pratiquer auprès de leurs proches, mais ne peuvent utiliser le terme HG qui est déposé et réservé aux praticiens certifiés en « Harmonisation Globale® ».
Je remercie toutes les enseignantes qui me secondent dans cette réalisation et particulièrement Véronique qui avait repris les rênes de l’HG suite à mes soucis de santé.
En tout cas, l’HG est toujours aussi efficace sur de nombreuses perturbations physiques, sur les sensations de mal-être... Après toutes mes années de pratique journalière de l’HG, je suis encore étonnée des résultats !!!
Je reprends les comptes rendus de séance d’HG. Cette fois nous nous intéressons à un travail en transfert pour des personnes incapables de la faire elles-mêmes. C’est le même procédé qui peut être utilisé pour les animaux, les plantes,…
Troubles du sommeil chez une petite fille de 5 ans.
Manou a 5 ans et depuis sa naissance elle a de grosses difficultés à quitter sa mère, à s’endormir.
Sa mère, Virginie m’explique qu’elle ne s’endort que près d’elle, se réveille souvent la nuit avec à nouveau des difficultés à se rendormir. Elle ne reste pas seule dans une pièce.
Virginie m’apprend que cela a été une grossesse surprise : n’ayant plus eu de règles pendant quatre ans, elle se pensait en ménopause. Elle ne s’est rendu compte de sa grossesse qu’à quatre mois, se trouvait trop âgée pour avoir un enfant,… La grossesse et l’accouchement se sont bien passés, Virginie a allaité sa fille, mais Manou est une enfant très sensible, qui a peur de dormir, d’être seule…
Le praticien vérifie que la maman a un bras fort sur son prénom. Virginie dit : « je suis autorisée à travailler pour ma fille Manou » : le bras est fort, Elle peut faire le travail pour sa fille. Elle imagine alors qu’elle met son téléphone sur Manou. Elle teste alors : « Je m’appelle Manou », le test est solide. Puis « Je m’appelle Virginie », le test est faible. Elle dit : « J’autorise maman et le praticien à travailler pour moi », le bras est fort.
Praticien et Virginie choisissent de commencer à travailler sur la peur d’être seule. Virginie (branchée sur l’énergie de Manou) : « J’ai peur d’être seule » : le bras chute.
Recherche de l’origine de cette peur : « J’ai peur d’être seule d’origine physique », émotionnelle », spirituelle » : le bras chute à spirituel. « J’ai peur d’être seule en lien avec d’autres vies » : le bras chute. Puis : « J’ai peur d’être seule en lien avec l’abandon dans d’autres vies » : le bras chute et Virginie (toujours branchée sur l’énergie de Manou) va répéter : « abandons dans d’autres vies »
Au test de contrôle, la peur d’être seule d’origine spirituelle baisse encore et ce sont cette fois les charges des ancêtres paternels qui sont en cause et qui sont traitées.
Maintenant les origines spirituelles ne font plus baisser le bras, mais il y a des origines émotionnelles, et c’est « j’ai eu peur d’être écrasée par un camion » qui entraine la chute du bras et sera traitée.
« J’ai peur d’être seule » n’entraine plus la chute du bras, aussi le praticien et la maman modifient l’élément de départ.
Maintenant la recherche se fait sur « J’ai peur de m’endormir seule ». L’origine cette fois est émotionnelle, et a eu lieu le premier jour de vie. Le plus souvent l’enfant né est séparé de sa mère pour le réanimer si nécessaire, le nettoyer… mais on ne lui explique pas (par la parole ou la pensée) que cette séparation est temporaire, et que sa maman l’attend. L’enfant vit souvent cela comme une perte complète de repères : il a vécu 9 mois dans le ventre de sa mère et se trouve confronté à un environnement totalement inconnu. On appelle ce traumatisme le « mouvement interrompu ». Et effectivement « mouvement interrompu » fait chuter l’énergie de Virginie branchée sur celle de sa fille Manou. Virginie répète donc « mouvement interrompu », jusqu’à ce que cette phrase ne fasse plus baisser le bras.
Pendant le travail, Manou est restée attentive à ce qui se passe. Elle s’est rapprochée de sa mère…
Puis, Virginie imagine qu’elle reprend son téléphone. Maintenant elle a de la force avec son prénom et n’en a plus en disant « je m’appelle Manou », elle est revenue sur son énergie.
J’ai demandé des nouvelles à Virginie : depuis la consultation, Manou est plus apaisée, moins anxieuse. Elle a toujours besoin d’être près de sa mère pour s’endormir mais se rendort plus facilement en cas de réveil nocturne.
Il faudra encore de nouvelles séances pour que Manou puisse dormir seule…
Bonne pratique de l’HG, Si vous avez des propositions pour les prochaines Newsletter…
Dr Thérèse Quillé