Lien avec l'énergie universelle
Je suis d’origine chrétienne et la Bible, dans la genèse, parle « d’un péché originel ». Certains y voient une transgression sexuelle, avec l’image de la pomme et du serpent, Adam et Ève auraient mangé du fruit défendu…
Mais il est surtout noté que l’homme éprouvait le désir d’être comme Dieu, et donc de se séparer de lui.
En France actuellement, on a tendance à traiter de secte ou plutôt de pratique sectaire toute recherche spirituelle faite en dehors des canons traditionnels édictés par
les religions qui ont pignon sur rue, qui disent ce qu’il faut croire.
Or, de nombreux jeunes sont en recherche, des jeunes qui sont tentés de se réfugier dans la drogue si leur attente est déçue. La médecine elle, veut se limiter au
mesurable, au physique et à la psychologie, aux relations avec les autres personnes. La dimension spirituelle en est complètement absente. Pourtant, la recherche de nos origines, comme de notre
devenir, est indispensable si nous voulons devenir des hommes, des « êtres pensants » au véritable sens du terme.
D’autres traditions, en Inde en particulier, évoquent l’idée d’un Dieu, (ou d’une Source), voulant se connaître et expérimenter son rayonnement en se divisant de manière
infinie. Sous forme d’innombrables particules de lumière partageant sa conscience, Dieu pourrait ainsi se regarder et continuer à se diversifier.
Selon ces traditions, nous sommes ces particules de lumière. Mais des particules de lumière possédant un libre-arbitre en face du plan originel. Reliées intrinsèquement à
la Source, elles doivent décider si elles continuent ou non de vivre avec elle…
La séparation a été très dure : nous étions dans la Source et nous avons été projetés au loin. Certains n’ont eu de cesse de retrouver la Source dont ils étaient issus,
d’autres ont voulu s’en éloigner davantage. Dans un cas comme dans l’autre, nous sommes en souffrance, en « incomplétude ».
Pour retrouver la plénitude, la sérénité, il nous faut d’abord reconnaître que la Source est en nous, que nous sommes son émanation. Nous sommes libres de vivre avec elle
pour devenir co-créateur.
Mais nous avons d’énormes difficultés à retrouver la Source. Le travail sur soi, la méditation, la pratique de la compassion, de l’amour inconditionnel, nous permet au
fil des années de nous en rapprocher.
L’Harmonisation Globale peut nous aider à l’atteindre plus rapidement. C’est un travail d’équipe. Le praticien se fait canal de la Source et le consultant, en se
focalisant sur ce qui le perturbe, permet à la Source de le soulager, de le guérir, d’enlever des voiles qui le sépare de la particule de Source qu’il a en lui. Évidemment, les rôles
consultant-praticien sont interchangeables.
Au cours de l’Harmonisation Globale, le praticien se relie à l’énergie universelle, à la Source. Le consultant se réharmonise en se reliant à l’énergie universelle à
travers le praticien. C’est lui (le consultant) qui décide de ce qu’il souhaite traiter, ce qu’il souhaite modifier en lui. Il est primordial de respecter en tout point le désir du subconscient
du patient, de ne pas brûler les étapes. Il faut que la transformation soit progressive, il faut le temps de s’adapter aux nouvelles énergies.
Il est possible aussi de participer à la ré-harmonisation de la Terre en utilisant l’Harmonisation Globale : dans ce cas, il suffit que le praticien s’imagine canal et se
relie à la terre pour que l’énergie universelle soit déversée de manière générale sur toute sa surface ou sur certaines régions qui en ont
particulièrement besoin.
La ré-harmonisation peut concerner le plan physique ou plan de la matière, le plan astral ou plan des émotions, ou enfin le plan causal, c'est-à-dire le plan des causes,
du karma…