L’HG agit avec une grande efficacité dans les troubles du comportement : la personne se rend compte de son attitude, souhaite en changer mais n’y arrive pas. L’HG va pouvoir l’aider.

     Le TRM met d’abord en évidence l’émotion perturbatrice. Dans cette première phase, patient et thérapeute cherchent ensemble ce qui fait chuter le bras, ce qui perturbe l’énergie, puis le traitement intervient ensuite pour faire disparaître l’élément perturbateur.

     Dans certains cas cependant, le thérapeute ne doit pas intervenir.

Prenons un exemple :

     Si une personne éprouve de la jalousie, mais estime que ce sentiment est justifié, si elle ne souhaite pas qu’on intervienne pour l’en débarrasser, il ne faut pas traiter, même si, à l’évidence, la jalousie la rend malade : c’est à elle de faire ses choix de vie, pas au thérapeute. Il n’a pas à discuter ! Le praticien doit rester au service du patient.

     Les patients qui acceptent de travailler en HG ressentent un soulagement, une libération, reprennent goût à la vie, forment des projets, prennent des décisions, voient leur entourage familial, amical, professionnel, avec un autre regard. Ils retrouvent confiance en eux, sont surpris du travail qu’ils ont effectué et de l’évolution qui s’amorce.

     En quelques minutes, un blocage émotionnel souvent ancien n’existe plus, une souffrance est allégée, une allergie effacée. Pour les personnes qui ont perdu un être cher, les sentiments sont toujours présents, seule l’émotion attachée à cette perte est libérée.

     En traitant les désordres émotionnels, l’HG agit sur certaines fatigues, sur les troubles du sommeil, sur les états dépressifs, le manque de confiance en soi, les états anxieux, les phobies, etc. Mais aussi, comme nous l’avons vu sur la cause psychique des allergies et intolérances alimentaires, des maladies chroniques…

     Je regroupe ici des comptes-rendus de consultations dont le point de départ a été psychique: peurs, angoisses, troubles du sommeil, troubles des apprentissages…