Phobie de l'avion
Une femme doit prendre un vol pour New-York, et présente une peur panique à l’idée d’embarquer comme à chaque départ… Le
traitement par HG est appliqué.
Au retour, elle témoigne qu’en entrant dans l’avion une semaine après la séance, elle n’a plus éprouvé « cette sensation de torsion, de tiraillement
à l’estomac, de gorge nouée ». Envolées aussi les palpitations et les maux de tête avec envie de hurler !
Elle était pourtant sceptique, vu le degré de terreur qu’elle connaissait auparavant. Mais la différence entre l’avant
et l’après traitement l’a convaincue : « J’étais décontractée, même très relaxe, comme si j’allais au marché. J’étais même contente de profiter de cette
semaine de vacances. Et je me suis sentie sotte de m’être toujours mise dans cet état de panique pour mes voyages en avion ».
C’était il y a un an, et le résultat est toujours aussi efficace.
Dans son cas, le mot utilisé pendant l’HG dans son cas était : « enfermement », alors que « altitude » ne donnait rien.
Cette patiente avait les mêmes symptômes de panique quand elle prenait sa voiture, mais personne ne le savait. Elle se conditionnait chaque jour,
matin et soir, pour effectuer les quinze kilomètres du trajet domicile-lieu de travail en se donnant deux
étapes pour s’arrêter et sortir de sa voiture, quelque soit le temps. A la suite du traitement par l’HG tout est rentré dans l’ordre. Une délivrance pour
elle et une nouvelle preuve de l’efficacité de l’HG.
Un an après, à l’occasion d’un nouveau voyage en avion, elle a été très étonnée de voir que la désensibilisation à l’enfermement était encore active. Le doute s’était de nouveau installé. Mais tout s’est bien passé malgré ses craintes.
Notez que la peur de l’avion peut avoir des origines différentes suivant les sujets : peur que l’avion tombe, la peur d’un accident, peur d’être enfermé comme ici, peur de ne pas pouvoir diriger, ou peur des bombardements comme il a été dit précédemment.
Cette peur de l’enfermement a pu aussi être traitée avec autant de succès chez d’autres personnes, avant un IRM ou un scanner notamment. Des patients qui redoutaient ce genre d’examen par peur d’être enfermés ! Après HG, ces patients acceptent de les passer. Savoir que cette peur panique n’existe plus est un véritable soulagement pour eux.